– Le 16 septembre rdv pour un détartrage, anesthésie générale, nous transmettons nos craintes au vu de ses 13 ans. Ce jour là, un autre compagnon lui passe devant, sans doute une urgence, puis il y a eu une prolongation de l’anesthésie, injections sur l’arrière train, suite en plus à l’extraction d’une carnassière.Comme convenu nous rappelons à 11H30 mais pas de nouvelle il faudra rappeler vers 14H30, le temps est long, notre compagnon serait toujours endormi, finalement on nous demande de venir à 16H30.- Le vendredi 20 septembre, on s’aperçoit qu’il a deux boules qui se sont formées sur l’arrière train, à l’endroit où les injections ont été faites.On rappelle la clinique pour alerter et faire un examen, le Dr en charge de l’opération est parti en vacances, une autre vétérinaire prend le relaisAprès avoir manipulé les deux boules infectieuses de façon énergique, la vétérinaire préconise de faire une échographie et suivant le résultat de faire une ponction.- Le 28 septembre on vient pour faire une échographie, résultats la vétérinaire indique que ce serait deux boules de graisses avec sans doute une infection. La ponction se fait sur la plus petite et indique qu’elle a retiré un peu d’infection mais pas tout et que les antibiotiques feront le reste. La vétérinaire prescrit MARBOCYL, sans avoir envoyé les résultats au laboratoire, traitement qu’il va devoir continuer pendant de nombreuses semaines avec tous les effets secondaires à redouter.- Le dimanche 29 septembre après-midi la plus grosse boule se fissure et coule le long de son corps, nous sommes aux urgences de Toulon.A nouveau anesthésie générale, nombreux points de suture, pose d’un drain, collerette, à nouveau antibiotiques et anti-inflammatoire.Le réveil est encore plus inquiétant le lendemain, après une nuit difficile, il ne veut plus se lever, ni manger. Il aura fallu de nombreuses heures pour réussir à le mettre debout, nous avons cru le perdre, aucun animal ne méritait ça.Un long chemin à été parcouru avec les risques d’infections, de réouverture de la plaie, de cicatrisation et une collerette qui a été difficilement supportable.Chaque étape a été pour notre compagnon un calvaire, la peur, la méfiance ont pris le dessus sur un climat de sécurité et de confiance que nous avions bâti ensemble.La douleur qu’il à dû avoir, la fatigue et son âge font que c’était très difficile pour notre compagnon. On peut dire que la clinique Olbia n’a pas tout mis en œuvre pour le guérir. Une opération de détartrage qui a engendré un grand nombre de complications, de manque d’informations, mettant sa vie en danger.La tristesse, la peur et la colère ont été notre quotidien pendant de longues semaines, nous avions pour projet de rendre notre gentil compagnon, âgé de 13 ans, simplement heureux après un parcours de vie difficile.